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Pour comprendre l'histoire de l'ile et de la Republique d'Hayti

26/05/2014 09:42

POUR COMPRENDRE L'HISTOIRE DE L'ILE ET DE LA REPUBLIQUE D'HAYTI

L'histoire de la république d'Hayti débuta bien avant l'arrivée des colons Espagnols sur l'ile. En effet, avant l'arrivée des Espagnols, les Indiens, premiers habitants de l'île avaient une culture, une organisation politique et même une organisation géographique, qui étaient complètement les leurs. Les haytiens scolarisés ont appris dans leurs livres de géographie et d’histoire, que leur île s’appelait à l’origine «Ahiti,Haiti, Hayti, Kiskeia /Quisqueya ou Bohio» et que c’étaient les noms... utilisés par les aborigènes Arawak (ou Taïno) peuplant l’île en majorité à l’arrivée de Christophe Colomb.

Pour la plupart des historiens dominicains, le nom taïno de l’île est bien Haïti, tandis que pour d’autres, le nom originel serait plutôt «Kiskeia/Quisqueya ou Babeque». Dans les ouvrages dominicains consultés, « Bohio » n’est pas mentionné comme nom de l’île.

Je veux, pour ne faire de tort à personne, commencer par les origines. Un certain Christophe Colomb, un Génois habitant de Gene une ville d'Italie, proposa aux rois catholiques, Ferdinand et Isabelle, de trouver, en partant de l'extrémité de nos terres occidentales, les îles qui avoisinent rinde II demandait des vaisseaux et ce qui est nécessaire à la navigation, et promettait non seulement de propager le christianisme, mais aussi de rapporter fidèlement, et au delà de toute prévision, beaucoup de perles, d'aromates et d'or. Il réussit à les persuader, et, sur ses instances, on lui destina, aux frais du trésor royal, trois ' vaisseaux ; le premier était un vaisseau de charge, ponté, les deux autres des navires marchands non pontés, du genre de ceux que les Espagnols appellent caravelles.

1) Ce n'était pas précisément aux frais du trésor royal que les vaisseaux étaient équipés ; les habitants de Palos avaient été condamnés, à la suite de quelques troubles, à fournir à la couronne, pendant deux ans, deux caravelles armées.

2) Le troisième vaisseau fut fourni par les frères Pinzon.

3) Les vaisseaux de Colomb se nommaient la Gallega ou la Santa Maria, la Pintaex, la Nina.

Babueca / Ahiti fut reconnu le 5 décembre 1492 tres tard dans l'apres-midi . L'amiral n'y débarqua que le lendemain 6 décembre , et en prit possession au nom de l'Espagne, d'après la formule conservée par le Père Claudio Clémente dans ses “Tabulas Chronologicas de los Descubrimimtos” .

Faisant le tour le l'ile "Guaney Cahini" aujourd'hui Ile de la Tortue, Christophe l'appela "Isla de la Tortuga en traversant sur la grande terre. Colomb donna à cette île Babueca ou Hayti) le nom d'Hispaniola. Sur le littoral d'Hispaniola (Babueca / Hayti) une région que les Tainos appellent Xarama. C'est du Xarama que Colomb avait tait voile, lors de son premier voyage, quand il était venu de l'Espagne (aujourd'hui Port-a-l'Ecu) situé tout près de Baie des Moustiques.

L'île était beaucoup plus peuplée lorsque Christophe Colomb y débarqua en 1492; les indigènes l'avaient partagée en cinq caciquats, tous dans une situation prospère et fort populeux. Les Espagnols bouleversèrent cet état de choses : ils anéantirent toute la population soit par le fer, soit en l'obligeant à travailler aux mines du Cibao. Ils changèrent jusqu'au nom de l'île qui s'appelait primitivement Ahiti ou Hayti (terre montagneuse), ou bien Quisqueya (grande terre), ou enfin Bohio (terre où il y a beaucoup de villages): ils la nommèrent Hispaniola.

Ensuite, on rencontre une série d'esters, c'est-à-dire de terrains vaseux couverts de palétuviers, et de longues bandes de récifs et de hauts-fonds parallèles à la côte et offrant des passes étroites où les petits bâtiments peuvent seuls pénétrer. Le meilleur mouillage de ces parages est la baie de Caracol, dont l'ouverture, de 6 kil. de large, est comprise entre les pointes Jacquezi et Caracol : les points abordables qu'on y trouve ne sont accessibles qu'à la haute mer. Puis la côte continue depuis l'embouchure de la Grande-Rivière jusqu'à la baie du Cap-Haytien : elle est basse et bordée de dunes sablonneuses qui font reculer peu à peu le rivage de la mer ; cette côte est couverte de palétuviers, aussi n'est-elle accessible qu'à des canots, dans les temps calmes.

Plus à l'Ouest. se trouve la rade du Cap-Haytien qui est protégée par la pointe de la Petite-Anse et par la pointe Picolet appelée par Christophe Colomb Pointe Sainte lors de son premier voyage (1492) : cette baie est vaste et le mouillage y est bon, sauf dans la période pendant laquelle souffle le vent du Nord; mais son entrée est couverte d'écueils placés presque à fleur d'eau et qui ne laissent entre eux que des passes étroites et dangereuses ; le port est dominé par un phare. Entre cette baie et la baie de l'Acul, c'est-à-dire depuis la pointe Picolet jusqu'à la pointe Honorat, s'élève un petit massif isolé qui borde la côte et qu'on appelle le Morne-Rouge : la face Nord de ce massif est connue sous le nom de Bande-du-Nord : elle est âpre, escarpée et presque inabordable. La baie de l'Acul, où Christophe Colomb entra le 21 décembre 1492 et à laquelle il donna le nom de port Saint-Thomas, est aussi le point où atterrit l'expédition française envoyée par Bonaparte pour combattre Toussaint Louverture (1802).

On lui donnait également le nom de Port-de-Camp-de-Louise. Elle se compose de deux parties : l'une extérieure, ouverte sur l'Océan et comprise entre la pointe Honorat, à l'E., et la pointe du Limbé, à l'O. ; l'autre intérieure, qui pénètre profondément dans les terres et qui est comprise entre la pointe d'Icaque et celle des Trois-Maries : l'entrée en est assez difficile à cause de nombreux ilots qui l'obstruent (Caye Philippot, ilet à Sable, ilets à Rats, etc );une seule passe, de 4 m. de profondeur, y donne accès aux navires qui d'ailleurs ne peuvent pas approcher trop près du rivage, parce qu'il est couvert de mangliers et de bancs de sable.

Après la baie de l'Acul, on remarque l'anse du Limbé protégée par des brisants et par l'îlet à Limbé : elle est assez commode, mais elle est exposée au vent du Nord. Puis viennent : l'anse à Chouchou qui sert d'embarcadère à Port-Margot, la baie de la Rivière-Salée abritée du vent du Nord, puis la baie d'Argent protégée par la pointe du Baril-de-Boeuf et où l'on trouve un assez bon mouillage.

De cette baie à la pointe Saint-Nicolas, la côte change d'aspect : elle se compose de falaises abruptes, qui surplombent l'Océan, et elle est peu découpée. Le vent du Nord y souffle avec violence et la mer y est presque toujours agitée : les lames et les raz-de-marée battent continuellement cette côte qui n'est abordable que sur de rares points, les navigateurs redoutent particulièrement les tempêtes qui se déchaînent dans le détroit qui sépare Haïti de Cuba et qui porte le nom caractéristique de Passe-du-Vent qui les forcent de faire un retrait.. Cependant la baie de Saint-Louis-du-Nord et celle de Port-de-Paix, situées en face de l'île de la Tortue et abritées par cette île contre le vent du Nord, offrent un assez bon mouillage aux navires, quoique la première présente quelques récifs.Au delà de ces deux baies, on ne rencontre plus qu'une sorte de côte de fer ; on peut toutefois citer comme refuges la baie de Moustique, le Petit-Port-à-l'Écu, le Grand-Port-à-l'Écu, d’où Christophe Colomb entra officiellement tard dans l’apres-midi du 5 décembre 1492, après quoi l'on ne rencontre plus qu'une côte élevée et inaccessible.

Aujourd’hui, certaines voix remettent en question ces assertions sur les noms Taïnos de l’île, ou offrent des interprétations différentes sur ces appellations. Puisque Marieni (le Marien) fut la capitale de Bainoa "4e province de l'ile d'Hayti" probablement appartenait à la famille linguistique Arawak mais son chef a agi indépendamment de tous les autres, et Bainoa, cette quatrieme province de l'ile qui etait la partie Nord-Ouest de l'Ile. Jusqu' à la date d'aujourd'hui, cette région de l'ile reste à part et meprisée par presque tous les gouvernements ayant pris la tete du pouvoir.

L'ile était divisée en cinq grandes regions ou caciquats :        

Bainoa avait pour capitale le Marien                                                                                                                                                                                        Cahibo avait pour capitale la Maguana                                                                                                                                                                                       Huhabo avait pour capitale la Magua                                                                                                                                                                                        Guaccairima avait pour capitale le Xaragua                                                                                                                                                                             Caizcimú avait pour pour capitale l'Higuey (Higuay).

D'autre part dans mes recherches approfondies Il parait que les differents noms des Caciquats furent : Bainoa, Cahibo (Cayabo), Huhabo, Caizcimú, et Guaccaiari (Guacayarima) qui ont ete repartis ainsi :

1-Caizcimú (Higüey)

ayant pour "districts ou cantons": Arabo, Aramana, Baguanimabo, Caicoa, Guanama, Guiagua, Hazoa, Higuey, Macorix, Reyre, Xagua.

2-Huhabo (Magua)

se trouvait dans la partie nord de Saint-Domingue entre la Yaqui del Norte et de la rivière Juna jusqu'a l'ocean Atlantique et de la péninsule de Samana au Point de Blanco. Subdivisions ou districts : Canabaco, Cubao, Xamana,Macoryzes, Ciguana/Ciguayo.

3-Cahibo/ Cayabo (Maguana)

Limite a l'Est de l'actuelle vallée de la Artibonite et les vallées de San Tomé et San Juan et la vallée de Constanza, apparemment jusqu'a la baie de Samana.

Subdivisions ou districts : pas de details.

4-Bainoa (Mariena)

probablement appartenait à la famille linguistique Arawak mais son chef a agi indépendamment de tous les autres, et Bainoa, la quatrieme province de l'ile est limitee au sud le mont de Saint Nicolas, sauf la partie à l'ouest de la rivière Savane et aussi à la région Saint-Domingue à la rivière Maguana ou San Juan. par les districts de la côte nord-ouest de l'actuelle Republique Dominicaine en passant par la côte nord de l'actuelle Haïti depuis le cap d'Isabella au Passage du vent. Subdivisions : Maiaguarite,Amaquei, Guahaba,

Guaney Cahini = Ile de La Tortue

5-Guacayarima / Guaccaiari / Guaccairima ( habitants : Guanacahibes)

se trouvant dans la peninsule ouest de l'actuelle Republique d'Haiti ayant pour subdivisions Ayqueroa, Chaymi, Guabaqua, Habacoa, Ianaizi, petit Bainoa, Manabaxao, Navicarao, Nimaca, Taquenazabo, Zamana.

 Les Indiens vivaient à leur aise , ils cultivaient la terre, ils pratiquaient la chasse, ils étaient tres heureux.

Ces noms Taïnos avaient donc un caractère «d’authenticité originelle» et renvoient, dans l’imaginaire populaire, à un passé idyllique quand l’île était le « Paradis des Indiens ». Puis, une matinée ,un événement allait se produire et cet événement changera radicalement le quotidien des Indiens. En arrivant le 5 Décembre 1492 puis debarqua au lendemain matin 6 Décembre 1492 à Xarama , trois << choses >> allaient perturber la vie des indiens tainos, les trois bateaux de Christophe Colomb accosta sur l'île dans la region du Xarama dans le Bainoa aujourd'hui Nord-Ouest d'Hayti. Les Indiens perturbés par la présence de ces instruis accouraient à leur rencontre. Une fois arrivés sur l'île, les Espagnols l'ont pris en possession en la baptisant << Hispanola >> . Les Espagnols n'avaient tardé à exploiter les richesses de l'île . Ils ont pris de l'or, des arbres précieux, et même une dizaine habitant de l'île fut capturé et emmené en Espagne avec eux.

Colomb donna le signal du départ pour l'Espagne. Il ramenait avec lui dix insulaires ou Tainos grâce auxquels on a pu transcrire en caractères latins tous les mots de leur langue. C'est ainsi qu'ils nomment le ciel = tueri, une maison = boa, l'or eau = ni, un homme vertueux = tayno, rien = magani.

Tous les autres mots, ils les prononcent aussi distinctement que nous prononçons le latin. Tels sont sur cette première navigation les détails dont il a paru convenable de garder le souvenir. Vous les connaissez maintenant. Roi Ferdinand et Reine Isabelle qui ne cessaient de penser, même pendant leur sommeil, à propager la foi chrétienne, espérant que ces nations si nombreuses et si douces seraient facilement converties à leur religion, éprouvèrent à ces nouvelles une vive émotion. Christophe Colomb à son retour à Babueca, (Hayti) reçu par eux avec de grands honneurs, comme il le méritait pour ce qu'il avait exécuté. Ils le firent s'asseoir en leur présence, ce qui pour les rois d'Espagne est la preuve la plus grande d'amitié, de reconnaissance, et le signe suprême de gratitude. Ils ordonnent que dorénavant Colomb soit appelé préfet de la mer, ou, en langue espagnole. Amiral Barthélémy Colomb, son frère, lui aussi très expert en l'art de la navigation, est par eux honoré du titre de préfet de l'île Hispaniola, ce qu'en langue vulgaire on appelle Adelantado. Aussi bien, pour se faire mieux comprendre, De ces dix Indiens, un parmi eux meurt pendant la traversée, trois restèrent malades à Palos, les six autres furent présentés à Barcelone au roi et à la reine. Ils reçurent le baptême. Cinq d'entr'eux accompagnèrent Colomb dans son second voyage.

Il est a remarqué que l'or rencontré au premier voyage n'était jamais présenté qu'en petite quantité Se défier à ce propos des exagérations contemporaines. Ainsi on a prétendu que la coupole de Sainte-Marie Majeure, à Rome, et le plafond de la salle royale du palais de Saragosse avaient été dorés avec l'or rapporté du premier voyage, mais aucun des historiens contemporains ne mentionne le fait.

Quand il était revenu en Espagne et qu'il avait ramené les dix indigènes, Trois d'entr'eux seulement survivaient. Les autres avaient succombé au changement de pays, d'air et de nourriture. A peine vue de la côte de Sanctereine, ainsi que l'appela Colomb, dans le Xarama, que l'amiral ordonna de rendre la liberté à un de ces interprètes. Les deux autres parvinrent à se jeter à la mer, et nagèrent jusqu'au rivage.

Sous peu, les Indiens se sont assujettis à l'esclavage dans les mines d'or comme ils n'étaient pas de rudes travailleurs, ils mouraient par milliers. Et ceux qui s'étaient opposés , étaient pendus!.

Peu de temps apres vinrent la Conquête, la Colonisation et les Noms imposés par les Européens : « Espanola , Hispaniola, Santo Domingo » imposés par les Espagnols et « Saint-Domingue » imposé par les Français.

1. Considérant l’identité et la forte personnalité de la population de Bainoa (aujourd'hui Nord-Ouest de l'ile) façonnées et affirmées au fil des siècles à travers ses situations socio-environnementales une culture autonome lui aurait due à cause du support de sa diaspora lui devrait-etre à nulle autre pareille aux valeurs de liberté, de respect et de solidarité avec les autres.

2. Considérant le rôle de premier plan joué par "Francois Capouet" Cappoix-la-Mort "la star de la guerre de l'indépendance d'Haiti" dans laquelle il s’était massivement engagé, lors de cette Bataille décisive de Vertières, le 18 novembre 1803 pour donner naissance à la nouvelle patrie. Francois Capouet dit "Cappoix-La-Mort" , selon tous les récits historiques, avait défié l'armée française qui était la plus grande armée du monde de l'époque. A la tête de sa troupe, il ne craignait ni boulets, ni mitraille de l'ennemi. Ce qui lui a valu les honneurs de son adversaire, le général français "Jean-Baptiste Donatien de Vimeur, comte de Rochambeau" se remémore l'un d'eux qui semble relativement calé en histoire .

3. Considerant le Nord-Ouest "Xarama / Bainoa" est sa première et mere patrie de naissance. Il recouvre l’espace historique de Francois Capouet (Cappoix-la-Mort) ajusté aux réalités socio-economiques et historiques de la région et qui devrait-etre considéré comme la porte d'entrée du pays vers l'Amerique du Nord vers un developpement integrale de la région et du pays.

Depuis le jour de son indépendance, la république d'Hayti a fait du chemin, passé par l'assassinat de l'empereur Jean-Jacques Dessalines, de l'occupation américaine, continue par la monarchie des Duvalier, par le départ du Duvalier (fils) au cours d'une révolte populaire en février 1986 et en avril 1990 celle du général Prospère Avril. L'accession du pays à la démocratie, les Haytiens ont prouvé qu'ils étaient prêts à tout pour améliorer la situation de leur pays. Cette volonté de changement s'est manifesté en maintes reprises, par l'élection de Jean-Bertrand Aristide le 16 Décembre de la même année, en 2011, à l'arrivée du regne des "Tet Kale" c'est encore pire. Malgré la volonté du peuple pour changer les choses c'est comme il y a une main cachée refusant l'avancement et le progres d'Hayti, le pays en a connu des présidents. Des présidents que l'histoire ne peut meme pas omettre de citer . Des événements historiques fâcheux "il en existe dans l'histoire d'Hayti". On peut même dire que durant ces époques à nos jours c'est comme Hayti est incapable de s'autodiriger.

Cependant l'espoir n'a pas fini pour le peuple haytien, qui s'apprête à tourner une nouvelle page de son histoire. Les Haytiens devraient maintenant oublier le passé afin de mieux préparer l'avenir, le peuple haytien serait-il prêt à se réconcilier?, peut-etre oui, mais cette réconciliation doit se faire sans obligation car les forces anti-changements ne seront pas en mesure de payer pour les crimes qu'ils ont commis dans le pays. Si on essaie de les faire payer, tout peut arriver dans le pays, ainsi donc Il faut qu'il y ait une reconciliation nationale entre toutes les filles et tous les fils authentique de la nation à travers une “Conference Nationale / Résolution de Conflits  ou un vrai Contrat Social” car aujourd'hui les haytiens sont tres laids aux yeux de toutes les autres nations du monde. Si j'ecris ceci, ce n'est pas dans le but de blesser ou de satisfaire plus d'un, mais au lieu de blesser les veilles blessures historiques du peuple haïtien, il faut plutôt d'informer le peuple de son histoire, de les faire comprendre les erreurs commises dans le passé afin de les éviter dans le futur. 

 

Lou E. Arne

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